L’autre est le miroir de soi-même. Si ce que je vois en lui est positif tout va bien et, en revanche, quand ce que je vois en lui est négatif, cela devient tout de suite compliqué.
En effet, j’ai beau me le répéter et me reprendre, c’est difficile de sortir de cet automatisme d’émettre des projections qui deviennent des jugements de valeur sur l’autre.
« Nous ne voyons pas le monde tel qu’il est mais tel que nous sommes ».
Disait Emmanuel Kant
Depuis que je me vois dans l’autre et que je prône la gratitude envers moi-même, je me reprends plus rapidement et je remercie cet autre qui me montre ce que je n’aime pas en moi.
Un de mes prérequis dans la vie est que « lorsque je déblaie à l’intérieur de moi, je déblaie mon extérieur ».
J’ai pris conscience que tout ce que je vis qui m’émeut, qui m’éblouit, qui m’agace, qui me heurte est une clé dans mon développement personnel et professionnel.
La relation humaine est au cœur de mon métier – et finalement, les interactions pourraient bien être au cœur de tous les métiers – et quand je m’autorise à questionner mes comportements, j’offre à mes interlocuteurs ma vulnérabilité et, ainsi, mon humanité.
Je partage une clé découverte : Aussi difficile soit-il, j’identifie en moi ce qui m’interpelle chez l’autre.
Une lecture inspirante : Du Je au Nous de Thomas D’Ansembourg.
Une vidéo inspirante : Comprendre ta personnalité avec la métaphore de l’arbre par PsychoCouac.
C’est pourquoi, l’intention première du Cercle des managers éclairés est de poser le curseur sur soi-même, comme levier de croissance pour mon entourage et le système dans lequel j’interviens.
Et si vous vous offriez l’expérience du CME en 2021 ? Pour en savoir plus.